C'est paradoxal, or les manifestations haineuses diverses, ressemblent plus à de l'envie qu'à de l'aversion.
"On" n'a pas d'aversion pour quelqu'un de faible, ce n'est pas de la "charité chrétienne".
Mais "on" a peur des turcs, or on a pas à avoir peur de quelqu'un de faible.
Est ce qu'en fait, la Turquie n'est pas beaucoup plus forte économiquement que nous mêmes l'imaginons, et n'est ce pas cette puissance latente qui est combattue et terrifie les "autres"(cf Lacan)?