L'auto-stop selon les cultures

En virée ce dimanche dans la région de Bouillon (sud de la Belgique), sur ma route, j'ai eu l'occasion de prendre des auto-stoppeurs à 2 reprises. C'était la 1ère fois que j'avais l'ccasion d'être confronté à cette situation en Belgique. En Turquie, moi-même j'ai fait bcp d'auto-stopping, qui est chose ordinaire entre les villages de ma région.

Ici en Belgique, une chose m'a interpellée : les passagers ne demandent pas "je vous dois combien ?" ou "je vous dois quelque chose ?", alors qu'en Turquie, même si le chauffeur répond toujours "Bien sûr que non" (ou quasi, pask'y a quand même des gratteurs, surtout s'ils voient que vous êtes d'Europe, lol), le passager pose tout de même la question, par principe.

Je voulais juste partager ce constat, il vaut mieux être au courant des coutumes locales Clin d'oeil

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tiens, c'est marrant ce constat.
pour ma part, j'ai souvent faire de l'autostop pour aller de ma ville jsuq'à la Fac. et quand j'ai eu une voiture, j'ai souvent pris des personnes qui en faisait. Jamais il ne m'ont proposé de me donner quelque chose, et jamais je n'aurai eu l'idée de leur demander quoi que ce soit.
je crois qu'il s'agit en effet d'une question de culture. je comprends que ça puisse te surprendre. mais je trouve que, prendre quelqu'un à bord de sa voiture, lorsqu'on fait la même route, ça coute pas plus cher, donc il n'y a pas lieu de rémunerer le conducteur. en plus, bien souvent, ceux qui prennent en autostop sont seuls aux volant, et ils le disent eux-mêmes que ça leur fait de la compagnie...
voilà pour le témoignage d'un point de vue européen Rougir

Oui Djedj, cela m'a juste surpris, je ne juge aucune des 2 méthodes Clin d'oeil

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Tes arguments sont valables. Le même raisonnement se fait en Turquie aussi, mais c'est juste pr être poli que le passager pose tout de même la question. Celui qui fait payer, par contre, là je me permets de considérer qu'il commet une grosse impolitesse.

T'as pas rencontré Godefroid sur ta route ? C'est qu'il faisait pas de quartiers, selon Anne Morelli. Il t'aurais pris pour un Sarrasin Langue