Bonjour Babel, merci de votre intérêt. Merci aussi pour cette question pertinente et bien contrsuite. Il s'agit de savoir si les parents issus de l'immigration sont oui ou non laxistes causant le décrochage social de leurs enfants. Voici une rapide réponse. D'abord de quelle immigration parle-t-on ? Si l'on signifie l'immigration ouvrière des années 64-74 qui pour la Belgique a essentiellement concerné les populations issus du Maghreb et de l'Anatolie, on doit bien relever que nous avons a faire une populationd'origine rurale et très faiblement qualifiée. Pour la poplation urque un tiers des hommes migrants étaient analphabètes, ce taux étant encore plus élévé dans le cas des immigrants marocains. Quant aux femmes immigrées dans ces dates, elles accusent également un taux de non scolarisation très élévé. Considérons en suite que ces gens installés dans un pays où tout leur est étranger n'ont pas eu des facilités pour éduquer leurs enfants. D'abord ils étaient amputés de la famille élargie qui constitue un élément majeur d’éducation diffuse et de contrôle social. Par ailleurs, leurs enfants scolarisés en Belgique étaient peu à peu socialisés avec des valeurs qui ne leur sont pas nécessairement familières. Cette double socialisation des enfants causera plus tard bien des difficultés aux parents, leurs jeunes n’étant pas orientées exactement selon les mêmes valeurs que leurs parents. Il faut aussi mentionner qu’à la fin des années 70, bien des travailleurs immigrés invités avec empressement ont perdu leur raison d’être en Belgique à la suite de la crise de l’emploi qui sonna également le coup d’envoi d’une dépréciation des migrants aux yeux de la classe majoritaire du pays. Déclassés professionnellement, les parents issus de l’immigration le furent également socio-culturellement à travers le regard condescendant des autochtones et notamment des structures scolaires. Ce revirement de situation a suffi a entemmer la confiace que les familles immigrées faisaient à la Belgique et en particulier à ses établissement d’enseignement. Une coupure semble ainsi s’être installée peu à peu entre les écoles et les familles immigrées. Il est évident que toutes ces difficultés ont conduit certains parents à abdiquer, notamment les pères dont l’autorité a été éteinte par leur statut social en involution. Certains jeunes sont devenus hermétiques aux aurguments éducatifs de leur famille, sans pouvoir trouver une place valorisante dans les structres éducatives belges. Certains « atouts » éducatifs des familles immigrées traditionnelles comme la morale religieuse, ou même certaines types de punitions ont été combattues ar la société d’accueil, certes de manière opportune et au nom de l’émancipation souhaitable des jeunes, mais sans donner aux parents ainsi dévoyés de développer d’autres points de liens avec leurs enfants. C’est ainsi que l’éducation familiale a été rendue caduque pour nombre de familles qui ont pu réussir avec certains de leurs enants mais pas tous, manquant de forces et de ressources. Les établissement éducatives du pays d’accueil, n’ont pas plus réussi avec certains jeunes car ils ne permettent pas aux jeunes d’accéder au sens même de l’éducaton qu’ils proposent. En effet, on peu comprendre la faible projection de certains jeunes dans les valeurs et pratiques d’une école qui déconsidère leur famille, qui ne peut garantir une insertion socioprofessionnelle, etc. Les solicitations et les promesses de réussite, d’enrichissement, de la jouissance et de notiriété faciles de la société de conommation environnante finissent par parachever le détricotage de l’autorité de l’école également. Ainsi, certains jeunes issus de l’immigration ou non finissent par être emportés par la vague de l’oisivité, du consumérisme facile ou même des comportements « évasionnistes » comme la consommation de stupéfiants, etc. Cette situation engendra le bénéfice du plaisir et de la puissance facile mais oriente les jeunes vers une forme de marginalisation qui peut l’entrainer vers certaines types de délinquances acquisitives comme des vols, etc. Les cibles sont alors tous les membres de la société « établie », en particulier les éléments les plus vulnérable comme les personnes âgées, par exemple. Toutefois, cette ligne causale ne constitue ni une généralité ni une fatalité, des exemples de dépassement éxistent également. Par ailleurs, ni l’exemple de l’assassinat de Joe, ni les évènements français de la fin 2005 ne sont des exemples illustrant les faits qui viennet d’être brièvemen décrits. On connaît aujourd’hui les circonstances pour le cas Joe. Pour ce qui est des évènements de France, les analyses les plus sérieuses montent justement que la révolte des jeunes est occasionné par l’absence des structure set oppoprtunités qui pourraient leur permettre de se construite à la fois comme des membres à part entière de la société d’accueil et comme les dignes enfants de leur famille.